"Les leaders de la rébellion ne connaissent pas, c’est quoi un Etat, ni un processus démocratique. Pour ma part, Timane ERDIMI est très mal placé pour prendre part à un quelconque processus de négociation, de réconciliation au Tchad parce qu’il n’a plus aucune crédibilité politique… Je n’ai jamais été un partisan de la lutte armée ; pour preuve, je vous fais remarquer que mes hommes n’ont pas participé aux combats de Ndjamena en 2008 et n’ont pas pris part à ceux d’AMDAM en 2009....".