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Sir Harouni Kabikabi était un beau et riche citoyen du royaume « debycoccie ». Il était une personnalité influente dans la société puisque ses relations avec la famille régnante étaient tant solides. Il possédait à lui seul des vastes terres fertiles sur les poussaient du coton. Ses propriétés immobilières étaient comptes par plusieurs dizaines. Des années passèrent, sir Kabikabi (ou Kababi pour les intimes) devint plus riche, plus puissant et décida de ne plus partager sa fortune, de ne plus payer tribut à son ami : sa majesté le Duck idrichie. L’égoïsme du comte Kabibi agaça le roi et ne tarda pas de se venger. C’est ainsi qu’il envoya un peloton pour arrêter Harouni.

 

ect.

 

Trois coups de cravache ont suffi pour que le tout puissant secrétaire général à la présidence Haroune Kabadi claque. En effet, selon les dires, lors de la séance des tortures, le concerné aurait résisté qu’au premier cou ; le secrétaire général par intérim du Mps s’est permis même un sourire et a psalmodié en direction de ses bourreaux : « zakawa kalbat sakit ». Lorsque le deuxième tombe sur son corps, Haroun aurait frotte son dos sur le mur de l’enceinte : un geste pour amoindrir la douleur. Puis il s’est aussitôt rappelé de sa mère en criant « Eh maman ! Eh maman !». La suite de l’histoire en est que : Kabadi avait commence réciter tous les actes vols qu’il avait commis, petits et grands, depuis les œufs dans le poulailler des voisins pendant l’enfance, aux vols des milliards de l’États tchadien. Monsieur Kabadi parla, continua à donner des informations raconta absolument tout : le nécessaire et innecessaire. Il aurait récité mot par mot, le système compactable oust-africain (syscoa) et le plans compactable français. Enfin c’est au monsieur Kabadi d’ajouter qu’il était « le troisième larron », mentionné dans les voleurs et l’âne des fables de la Fontaine. Aux dernières nouvelles, l’ancien directeur de la cotontchad Haroune Kabadi était sur le point d’être transféré dans le bloc des malades mentaux de l’hôpital de référence.

 

Un voleur est reste et demeure un voleur car il n'y a pas de la gloire dans cela mais seulement et seulement de la réprobation. Au lieu que certains compatriotes compatissent pour le malheur de kabadi, ils doivent plutôt avoir honte.

La meilleure de justice à rendre dans ce genre de cas est de jeter Kabadi dans une cage des lions affames. On verra si Haroun continuera à garder les mêmes habitudes.

 

Cheickh Tidjane Galmai

Tag(s) : #Politique
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