"....DEBY peut acheter des hélicoptères, des avions, des canons de millimètres inestimables pour tuer des Hommes, ces créatures de Dieu mais, une chose est sûre, il ne pourra pas tuer et affamer tous les Tchadiens, il aura un tchadien qui mettra fin à sa croisade sanguinaire...". Abbas Kayangar.
Tout semble prédire que le Général Schizophrène Idriss DEBY en dépit des nombreux appels à la raison de ses pairs et des Hommes épris de paix de par le monde, campe solidement dans son intransigeance à ne pas faire la paix des braves avec ces milliers de fils du Tchad qui combattent si courageusement son régime agonissant.
Obnubilé par les revenus du pétrole de DOBA et revigoré par le soutien aveugle de Messieurs Jacques CHIRAC, Mouammar Kadhafi et surtout de l'animosité de cette tribune des dictateurs qu'est l'Union Africaine, le despote Tchadien refuse de voir la raison d'épargner des vies et des milliards de francs CFA volatilisés dans les détournements, les achats sauvages d'armes de guerre, le soutien continu du coût de la guerre, l'entretien, l'équipement et l'ordinaire des groupes rebelles du Darfour et le maintien permanent d'un corps expéditionnaire en république Centrafricaine.
Au vu de cette incurie du chef de l'Etat, le peuple du Tchad n'a d'autre choix que de choisir la seule issue pour mettre fin à sa souffrance, la lutte armée. Celle-ci semble porter ses fruits et il n'est pas à exclure une chute imminente du régime, n'en déplaise au griots qui sont Gottingar avec son site chimérique, Ourmadji Moussa Doumngor ânonneur patenté du régime et Mahamat Hissein qui fait la risée de la confrérie journalistique Tchadienne. Il n'est pas à exclure également que le despote dans son refus méphistophélique d'épargner des vies par l'envoie massif des éléments de sa soldatesque à la mort, se fasse un jour trucider par un de ses proches comme le châtiment offert a Kabila père car, on doit se dire que le danger ne vient pas seulement de la rébellion mais, se trouve vivace et évolutif comme la gangrène au sein du palais Rose.
Idriss DEBY est en fin de règne car, il fait face aux coups de boutoir de la résistance, aux prières pieuses des millions de tchadiens musulmans et chrétiens confondus qui réclament son départ et qui implorent leur créateur de mettre un terme à leur souffrance. DEBY peut acheter des hélicoptères, des avions, des canons de millimètres inestimables pour tuer des Hommes, ces créatures de Dieu mais, une chose est sûre, il ne pourra pas tuer et affamer tous les Tchadiens, il aura un tchadien qui mettra fin à sa croisade sanguinaire. Dieu est juste et omniscient, s'il a donné à Idriss DEBY la destiné de la nation tchadienne, il ne lui a pas dit de tuer, de mettre à sang et à feu la cité Tchadienne, de voler et d'affamer les pauvres citoyens.
Aujourd'hui, dans sa rhétorique de guerre, monsieur Idriss DEBY dilapide sans relâche, des revenus considérables de francs CFA qui auraient pu avantageusement concourir à la lutte contre la pauvreté. L'argent déboursé pour acheter un avion, un hélicoptère ou un char aurait permis l'acquisition de dizaines de tracteurs et autres engins pouvant nous aider a lutter contre la famine, a construire des infrastructures, des ouvrages, des hôpitaux, des écoles, des adductions d'eau potables, a acquérir des médicaments contre le paludisme, le sida et ceux pouvant aider a sauver la vie des ces centaines d'enfants qui meurent chaque année dans notre pays. Oui, ces milliards pourraient aider à sauver la vie ou alléger la souffrance de ces millions d'anonymes qui ne peuvent pas s'offrir une évacuation sanitaire au Caire, à l' Hôpital d'instruction des armées du Val de Grâce ou autre paradis de soin de par le monde.
Le régime semble très mal et cette menace doit d'être prise au sérieux, malgré l'agitation des souteneurs (France, Libye, UA, ...) de Deby, le Général Idriss DEBY a maille à partir avec bon nombre d'officiers de son clan, des nouveaux chefs militaires se font entendre et haussent publiquement le ton en réclamant leur part du gâteau, recettes pétrolières, en ligne de mire. Les faucons et mais aussi fossoyeurs du régime honni qui sont les généraux Abderahim Bahar et Mahamat Ali Abdallah jouent le rôle de managers en distribuant armes, vivres et surtout enveloppes aux différentes divisions. Cependant, le clanisme bien encré dans leur gestion les empêche d'accomplir un travail équilibré d'où la grogne au sien de la grande muette. Il fut un temps, toute révolte ou grogne au sein l'armée est réprimé(e) par un carnage sauvage, mais aujourd'hui c'est chose impossible car le régime ne tient plus que sur des béquilles sciées d'avance, des béquilles en brindilles.
Il ne reste à Idriss DEBY qu'à faire descendre sur le terrain des opérations à Hadjer Marfain ou a Addé, les Mahamat Hissein, Ourmadji Moussa Doumngor, Nassour Oua ՙïddou, Sekimbaye Bessané, Nagoum, et autres griots du régime ainsi que les Hassan Timan, le colonel Djibrine Topalto et Moussa Meï (cousin de Hadjé Fatimé DEBY), Hinda, Idriss Ahmat Idriss et Douga Ahmat Idriss (frère Wazina), etc. pour défendre leur mangeoire, aucun tchadien digne de ce nom ne mourra encore pour eux. Espérance est grande pour le peuple Tchadien, le mois à venir seront riches en rebondissement et en surprise pour Idriss DEBY car, l'espoir est là, palpable, la rébellion fera des avancées notoires durant ce mois de février et le peuple Tchadien doit garder espoir et rester mobiliser dans ses prières contre le démoniaque Idriss DEBY, la victoire est certaine et proche.
Abbas Kayangar alias Moussa Beyadji
Envoyé par Douba A. Fadil, douba.007@hotmail.com