Depuis plusieurs jours des informations circulent sur le Net faisant état de dégradation de la santé du Général Mahamat Ali Abdallah, Ministre de l'élèvage et des ressources animales.
Aujourd'hui, ces informations se confirment et de sources sures émanant de la capitale française où le Général Abdallah est interné dans un hôpital depuis plusieurs semaines. En effet, selon nos compatriotes Parisiens, très actifs, le Com Ops de Deby en février dernier est presque mourant, sa vie n'est qu'une question de jours voire d'heures.
Le général Mahamat Ali Abdallah n'a pas été blessé en février dernier et il n'a pas participé aux derniers combats d'avril et de juin. Alors de quoi souffre le sauveur de Deby en février dernier lorsque les rebelles ont assiégé la capitale tchadienne ?
Des supputations vont bon train concernant la cause de son hospitalisation prolongée. A N'djaména comme à Paris, on parle beaucoup d'empoisonnement car l'homme est jeune et pète la forme et la santé. Contrairement à un Idriss Deby qui ne fonctionne qu'avec un seul rein, multiplie les évanouissements et ce malgré l'étroite surveillance des Médecins Tchèques.
L'empoisonnement est la nouvelle arme de destruction massive testée et appliquée avec succès depuis 3 ans par le cercle très restreint des ITNO. Tout le monde est une victime potentielle, que vous soyez alliés, opposants ou apolitique, tout le monde peut y passer sauf les Itno.
Tout N'djaména est au courant de la présence de ces poisons mortels venus des pays d'Europe de l'Est. La cellule présidentielle de l'ANS utilise le canal des jeunes femmes pour assassiner en douceur des hommes et des femmes, au Tchad comme à l'étranger, qui ne sont pas en odeur de sainteté avec le pouvoir des ITNO.
Certaines femmes à la beauté “ diaboliques ”, discrètes mais très proches du cercle restreint du pouvoir qui finance toutes leurs activités criminelles, entrent et sortent sans inquiétude ni soupçon dans tous les milieux des opposants, des rebelles et autres réfugiés ou exilés, ...etc.). Ces femmes sont connues du public, elles sillonnent N'djaména, certaines capitales africaines et européennes. Ambenatna se fait le devoir de leur arracher le masque dans les tous prochains jours. D'ici là, prudence !